Exprimer ce qu’il y a de plus profond en moi

 

Pourquoi je peins ?

Parce que cela me relie à ce qu’il y a de plus profond et de plus essentiel en moi.

C’est une manière de me laisser conduire par la Vie qui est à l’intérieur de moi.

 

 

Au cœur.

Au cœur de la personne, au cœur de chacun, il y a un noyau de richesse

 

 

Ce feu au dedans.

Une vitalité en moi qui me relie à plus grand que moi.

 

 

Laissez passer la lumière.

Dans l’intime de moi, il y a un chemin vers la lumière.

 

 

L’inouï qui m’habite.

Si on s’ouvrait un tant soit peu à tous les trésors déposés en nous..

Si on s’ouvrait un tant soit peu à Celui qui habite en nous..

 

V.B.

 

 

 

Valérie Bitz anime des stages de connaissance de soi par la peinture :

La vie en moi et ses entraves (30 avril-5 mai 2012. Colmar)

Ma vie relationnelle aujourd’hui (9-14 juillet . Colmar)

Renseignements : valeriebitz@prh-france.fr

Un état de grâce

Le vécu d’une opération.

 

C’était là une opération chirurgicale classique : hernie inguinale. Il y a bien plus difficile. Mais, les mois précédents lui avaient paru très durs : contractions musculaires, sensations douloureuses aboutissant à une immobilisation croissante. Il était épuisé, anxieux, mais continuait la lutte. Lorsque la date de l’opération approcha, il rechercha le soutien affectif de quelques amis et, en faisant appel à la prière de certains, il manifesta son désir non seulement d’inscrire cette épreuve dans la protection de Dieu, mais aussi dans une dimension communautaire de foi partagée.

 

Il savait qu’il n’avait pas le choix, les examens préalables n’étaient pas mauvais et sa rencontre préalable avec le chirurgien lui avait permis de ressentir de la confiance à son égard. Il n’empêche. Aidé par un ami, il arrivait à l’hôpital avec une mobilité réduite , le ressenti de sensations douloureuses et la crainte qui résulte de la diminution des moyens de faire face. Il aboutit ainsi dans une chambre d’hôpital. Quelques rayons de lumière apparurent comme l’accueil dialoguant de l’infirmière responsable ou la relation positive avec des soignants chargés des examens préliminaires. Handicapé par une mobilité réduite, il redoutait la douche préalable. Il fut aidé par son ami. Le soir, il trouva un accompagnement dans la lecture de quelques textes : paroles bibliques et le livre : « Sa présence dans ma vie » duquel il reçut harmonie et soutien.

 

La nuit passa. Après une nouvelle douche le matin, nu sur sa couche, on le vêtit d’un tablier, en attendant l’opération qui était fixée à 10 heures. Il pensait que cela devait avoir lieu plus tôt. L’attente n’était pas facile. Et soudain, à 8 heures, on l’avertit qu’en fonction d’un report de l’opération précédente, l’heure de la sienne était avancée. Un homme arriva pour l’emmener en chariot à la salle d’opération. Et c’est là que, sans vraiment s’en rendre compte, son état d’âme changea. Quelque part il se sentit différent. L’angoisse disparut. Dans le déroulement des évènements, entrant dans une séquence où, d’une certaine façon, il se sentait à la place convenue qui était aussi une juste place. Il se mit à échanger quelques mots avec l’homme, assez convivial, qui conduisait le chariot à travers les couloirs. Rétrospectivement, cette conversation lui apparaît comme une brèche dans une attitude anxieuse ou résignée. Il arriva dans l’espace des anesthésistes. Une doctoresse, partiellement masquée, lui parla gentiment et lui fit une piqûre. Ses craintes vis-à-vis de l’anesthésie s’étaient dissipées. Il était tout à fait présent au point de dire, sur le ton de l’observation, qu’il ressentait du froid dans la salle où il entrait. On lui dit : « vous vous sentez bizarre ». . Ce fut la dernière parole dont il se souvient. Il se retrouva ensuite dans la salle de réveil, lorsque, voyant qu’il reprenait conscience, une infirmière l’en avertit : « Vous êtes dans la salle de réveil ». Il avait besoin de se rassurer : « Cela s’est bien passé ? ». « Cela s’est bien passé ». Il commença à faire un inventaire de la mémoire  : Quelques paroles bibliques familières, la pensée aux amis, et même des repères de travail. Il se sentait bien. Et puis on le ramena dans sa chambre. Quelque temps plus tard, son cher fils arriva.

 

Curieusement, ces moments lui apparaissaient déjà comme un temps où il s’était trouvé à sa juste place dans un déroulement où quelques relations humaines avaient joué positivement le rôle de points de repère. Et d’une certaine façon, à cette juste place, dans un ordre qui était conçu pour son bien et qui le dépassait, il se sentait dans le temps de Dieu. Cette conscience d’une juste place s’inscrivait dans une manifestation de l’œuvre de Dieu à travers les hommes.

Et puis, dans le même mouvement, c’était un temps de grâce. Il n’avait pas ressenti le besoin de prier en terme de supplication comme cela avait été le cas à d’autres moments difficiles. Il savait qu’on priait pour lui et il en voyait les effets. De nature ordinairement inquiète, ses appréhensions avaient disparu. Pendant une courte séquence, ce fut un état de grâce et il le ressentit ensuite comme tel.

 

JH

Entraidons-nous en réseau !

Hélène est professeur. Elle me rapporte les difficultés vécues par une de ses collègues.

Jeune « prof », Isabelle vient d’arriver dans un établissement expérimental qui se veut exigeant. Quelque part, elle ne se trouve pas soutenue. En tout cas, elle se trouve en situation difficile en raison d’un problème de santé. Il y a quelques mois : extinction de voix et laryngite : traitement classique avec antibiotiques, congé de maladie. Rétablissement, puis rechute.  Même traitement…et puis encore rechute…Dans ce contexte, sa vie professionnelle est contrariée, sinon compromise.

Hélène est amicale et attentive. Elle encourage Isabelle. Elle cherche à l’aider. Elle sait que sa situation n’est pas facile et qu’elle donne même une occasion à tel ou tel collègue de manifester, à son égard, une forme d’agressivité. Elle ne serait pas à la hauteur ! La présence amicale d’Hélène soutient Isabelle.

Et pourtant, Hélène se rend compte  des limites de son aide. En effet, les problèmes de santé que rencontre Isabelle peuvent être envisagés dans différentes dimensions : physique, psychologique, spirituelle. Ils sont liés à un environnement.

D’après de nombreux exemples rapportés aujourd’hui par la presse, on sait combien le stress peut aujourd’hui se manifester dans des situations de travail. L’individu est soumis à de fortes attentes auxquelles il n’est pas toujours capable de faire face. C’est dire la responsabilité de l’encadrement. Qu’en est-il dans l’Education Nationale ?

Il y a aussi une responsabilité de la médecine classique. Trop souvent, elle s’arrête au symptôme et cherche uniquement à y remédier. Une pathologie : un médicament. On oublie la dimension globale de l’organisme. Dans un livre récent sur « la médecine personnalisée » (1), les auteurs donnent un bon exemple : des otites à répétition chez un jeune enfant.  Le médecin soigne l’oreille, mais cela ne suffit pas, car la congestion est en lien avec l’état général. On a besoin d’une médecine « holistique », intégrative. Et puis, il y aussi la dimension psychosomatique des troubles de santé. Est-elle vraiment prise en compte ?

Il y a également un lien entre affect psychologique et vie spirituelle. Comme chrétienne, Hélène sait combien la relation avec une présence aimante de Dieu change notre attitude. A maintes reprises, elle a expérimenté l’aide reçue en réponse à la prière. Aujourd’hui, beaucoup de gens ne sont pas « religieux », mais ils sont en chemin, en attente de découvertes spirituelles. Directement ou indirectement, ils peuvent entendre le témoignage d’Hélène. Mais comment aller plus loin ? Dans quel environnement social, peuvent ils être accueillis dan une vraie convivialité, dans le respect et en toute liberté ? Hélène se rend compte que, dans bien des communautés, les mentalités restent encore très étroites. Et, par exemple, si Isabelle vit en couple avec un compagnon, dans une démarche commune d’amour réciproque, cette situation échappe à la compréhension de certains milieux pour lesquels seul le mariage classique est légitime. Comment pourrait-elle être accueillie dans une communauté de ce type !

 

Nous vivons dans un monde en pleine mutation culturelle. Dans beaucoup de domaines, les institutions peinent à suivre. C’est ce qu’on peut entrevoir à travers la situation d’Isabelle.

 

Alors sur tous les plans, entraidons-nous et entraidons-nous en réseau ! Cherchons ensemble les réponses à nos besoins ! Partageons les bonnes ressources, les bonnes adresses, le recours aux personnes dignes de confiance

 

Qu’il en soit de même sur le plan de la vie chrétienne. « Faisons Eglise » en réseau ! Développons et partageons des expressions nouvelles de la vie en Christ (2). Accueillons-nous les uns les autres  en dehors de tout esprit de frontière ! Reconnaissons la dynamique de l’Esprit qui donne la vie ! (3)

 

JH

 

(1)            Lapraz (Dr Jean-Claude), Clermont-Tonnerre (Marie-Laure de). La médecine personnalisée. Retrouver et garder la santé. Odile Jacob, 2012. Sur ce blog : Médecine d’avenir. Médecine d’espoir.

(2)            On trouvera à ce sujet des réflexions et des témoignages sur le site de Témoins : http://www.temoins.com/index.php… Par exemple : « Au milieu du tumulte de la ville «  http://www.temoins.com/innovations/interview-d-eve-soulain.html  et « l’expansion actuelle des « fresh expressions » http://www.temoins.com/innovations/l-expansion-actuelle-des-fresh-expressions-en-grande-bretagne-un-phenomene-impressionnant.html. Voir aussi sur ce blog : « Ensemble, en chemin (septembre 2011)

(3)            http://www.lespritquidonnelavie.com/

 

Dedans … Dehors ! … Un chemin de liberté

 

Témoignage et réflexion de Philippe Molla en dialogue avec le texte précédent : « Dedans…dehors ! Face à l’exclusion, vivre une commune humanité ».

 

 

Merci à Jean pour ce travail personnel si précieux pour moi !

 

Encore un texte qui respire la liberté !

Ces mots résonnent tellement en moi que j’éprouve le besoin d’écrire

quelques pensées personnelles :

 

C’est pour moi un appel à sortir de mes conceptions humaines de qui je

crois être, ce regard souvent faussé qui m’empêche d’aller vers

l’autre. Mon prochain que je catalogue si facilement par ce qui

« frappe l’oeil « . Ne suis-je  pas le prochain de mon prochain ?

 

J’ai tellement à apprendre de l’autre, d’une rencontre. Souvent l’homme se

plaint de ne pas trouver Dieu, peut-être par ce qu’il ne sort pas de

son enclos. Qui est notre maître, la crainte ou l’Amour ?

Qu’apprenons-nous dans notre milieu où nous nous construisons ?

Les différences de l’autre sont-elles une menace pour nous ? Ce  » qui

sommes nous ? » que nous avons construit, si fragile, faut-il  par tous

les moyens le protéger ? Pourquoi ?

 

À l’âge de 18 ans, je me sentais fort, bien construit. J’avais mes

réponses sur beaucoup de sujets. Cela me donnait beaucoup d’assurance

et une paix intérieur. Mes petites réponses toutes faites sur la vie,

la religion, sur Dieu, me faisaient croire que je détenais la vérité !

(et oui ! J’avais l’esprit bien étroit ! Comme si je pouvais détenir

Dieu, la vérité !)

 

Mais cette construction m’a inconsciemment isolé. Si l’autre avait

une conception de la vie très différente de la mienne, j’avais

tendance à le cataloguer et le classer par catégorie. J’avais appris

dans ma religion que l’autre était dehors et moi dedans. J’avais

appris à inviter mon prochain dans mon enclos, mon système de pensée

humain, ce que j’appelle « La pensée unique ».

Dans cette démarche aucune connexion profonde avec l’autre n’était

possible. Pourtant, cette connexion est si précieuse, elle n’exige

rien de l’autre, elle n’attend rien de l’autre. Cette connexion où

Dieu peut enfin se révéler parce qu’il est synonyme d’AMOUR!

 

 

Alors comment ai-je trouvé le chemin de la liberté, de l’amour, de la

guérison intérieur ?

A travers de vraies rencontres !

 

Ma rencontre avec ma femme Martine a progressivement révélé mon état

d’homme préfabriqué par la  société, par la religion. Notre amour et

sa patience m’ont beaucoup aidé.

 

A travers, d’autres rencontres aussi. En particulier, une rencontre

profonde avec un homme, qui m’a fait entrevoir ce qu’est un partage où

il n’y a pas de place pour le jugement, les préjugés… Et ensuite, il

n’y en eu beaucoup d’autres.

 

Dieu a permis que je passe par des tempêtes intérieurs, des problèmes

professionnels, la maladie… Ces épreuves m’ont fragilisé. Mais c’est

dans cet état de fragilité que de véritables rencontres ont surgies.

Où l’amour de Jésus-Christ s’est manifesté, apportant guérison,

changement de mentalité et reconstruction de l’être.

 

J’ai découvert que Dieu se cache dans notre prochain ! Nous Le

trouvons quand nous acceptons notre fragilité, notre vulnérabilité.

 

Jésus-Christ n’est pas venu en super héros, mais Il a choisi de

s’exposer. Il a accepté de se rendre vulnérable, fragile, dans le seul

but d’atteindre le coeur de celui qui se sent en manque de tout,

rejeté,  exclu, pauvre, pêcheur, malade, seul dans sa souffrance,

esclave de ses vices, prisonnier de sa religion, prisonnier de son

clan familial, prisonnier de sa société…

 

 

Quand j’ai lu le titre « Dedans…Dehors », j’ai tout de suite pensé à la

parabole du Bon Berger.

Cette invitation à la liberté.

Et aussi au mot église.

 

Ce mot église est très peu utilisé dans les évangiles. Donc, j’imagine

que Jésus l’a très peux prononcé.  Peut être pour éviter qu’il soit

mal utilisé, mal interprété en créant des divisions entre tous les

hommes, des clans. Tous ces hommes à qui Jésus-Christ a donné sa vie

sur la croix, cette croix si douloureuse. Cette croix, où, bras

ouverts, il dit: «Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils

font.» L’Amour personnifié, ne laissant aucune place pour le jugement !

Cette Amour qui unit tous les hommes !

 

Ce mot église,  « ekklesia » en grec, composé de ek et dérivé de kaleo.

Ek: hors de

Kaleo: donner un nom, appeler.

 

On pourrait traduire église par  » les appelés par leur nom (dans le

sens unique, relation personnelle et intime avec le créateur) à sortir

hors de »

 

Pour comprendre la parabole du Bon  Berger, il faut connaître comment

procédait un berger à l’époque de Jésus. Le berger avait un associé

qui gardait les moutons dans la bergerie, le gardien. Quand le berger

se rapprochait de la bergerie, il commençait à appeler ses brebis par

leur nom. (Cette notion de donner un nom unique à chaque brebis,

montre que le berger connaissait bien ses brebis, il passait beaucoup

de temps avec elles) Alors le gardien ouvrait la porte et les brebis

couraient avec excitation rejoindre leur berger. Le berger faisait

demi-tour et marchait en direction des verts pâturages.

Les brebis reconnaissent très bien la voix et les sons . Je connais

bien ce sujet. J’ai passé beaucoup de temps dans ma jeunesse avec une

brebis et son agneau:

Une brebis a soif de liberté, elle recherche à atteindre toujours

l’herbe fraîche qui se trouve de l’autre coté de la clôture.

il faut beaucoup de patience  pour approcher une brebis.

Elle est vite dominée par la crainte, ce qui la pousse à mettre sa vie

en danger, ainsi que la vie de son agneau…

 

Je finirai par ces passages:

 

Jean 10:4

 

Quand IL les a tous fait sortir, il marche devant eux. Et ses moutons

le suivent, parce qu’ils connaissent sa voix.Ils ne suivront jamais

quelqu’un d’autre. Au contraire, ils fuiront loin de lui, parce qu’ils

ne connaissent pas la voix des autres personnes.»

 

Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour accompli chasse la

crainte; car la crainte suppose le châtiment, et celui qui craint

n’est pas accompli dans l’amour. (1 Jean. 4.18)

 

Alors sortons découvrir ce que Dieu a caché comme trésors merveilleux !

Ces trésors préparés spécialement pour nous, être unique, aimé de

son créateur !!

 

Psaumes 65:

Quand TU passes, les richesses débordent. Les terres sèches sont

couvertes de récoltes, les collines sont entourées de joie. Les

pâturages portent les moutons et les chèvres, les vallées sont

couvertes de blé. Toute la campagne chante et danse de joie.

 

Alors qu’est ce qui nous empêche de faire de véritables rencontres où

la VIE circule

 

Philippe Molla

 

Voir sur ce blog (7 octobre 2011) un autre texte de Philippe : 

« Un chantier peut-il être convivial ? »

Horizon de vie

Qui n’aspire pas à une vie harmonieuse par delà tout ce qui peut nous entraver parfois douloureusement ? En ce domaine, notre avancée dépend pour une bonne part de notre regard.

Pour les chrétiens, l’harmonie est reconnue et se répand à travers l’œuvre de Dieu, ce que Jésus appelle le « Royaume de Dieu » . Comment peut-on y accéder et y participer dans notre vie intérieure ? « Odile Hassenforder, dans son livre : « Sa présence dans ma vie » nous guide dans une recherche de plénitude et partage avec nous une expérience qui a changé sa vie, nous offrant ainsi un véritable condensé d’espérance » (1). Nous présentons ici un texte inédit, extrait de ses écrits personnels qui, dans sa spontanéité, nous parle de respiration spirituelle : « Le Royaume de Dieu et sa justice ».

 

 

Le Royaume de Dieu et sa justice.

 

Justice : justesse

bien ajustée

 

Les lois de vie étant respectées au niveau spirituel, les autres niveaux se mettent en place. C’est pourquoi, ceux-ci seront donnés par surcroît.

 

Il ne m’appartient pas de savoir comment pousse ce qui est semé. Je ne suis pas propriétaire. C’est l’affaire de l’Esprit. Je sais une chose : toute personne est aimée de Dieu telle qu’elle est.

 

Psaume 89 :

« Je chanterai toujours les bontés de l’Eternel…Car je dis : la bonté a des fondements éternels ».

 

Les béatitudes.

 

° Conscience ++ que Jésus et le Père demeurent en moi.

D’où dialogue : « priez sans cesse.. »..

 

° Temple de l’Esprit : lien-relation indestructible.

Jésus a fait connaître le Père sur terre et lui demande « En ta présence, donne moi la gloire auprès de toi avant que le monde existe.. ».  Jean 17

La Vie Eternelle : connaître le seul vrai Dieu en Jésus Christ..

 

Non pas retrouver le jardin d’Eden, ce qui est souvent notre envie, notre désir de se dorer sur la plage au repos

Mais la Terre promise , en marche avec courage, fortifie.

« L’Eternel marchera lui-même devant toi » (Josué 1.13  Deutéronome 31.7).

 

La louange précède l’intercession.

 

Quand je regarde le matin

Le paysage de ma fenêtre,

Le ciel qui s’illumine, rose, rouge, ou blanc, bleu,

Les nuages qui avancent…

 

Je rentre dans l’univers

J’y respire, va et vient

inspire : me laisser imprégner

expire : me dilater dans l’univers

fenêtre ouverte : respiration une narine après l’autre : altérité.

 

Conscience d’une dimension cosmique

A laquelle j’appartiens.

La louange             Tu es mon Dieu

adoration           et je t’adorerai

prosternation      (chant)

 

Liberté, contentement, joie, plénitude…

Que la pensée de Dieu devienne ma pensée

 

Alors, je peux exprimer mes besoins..

Les soucis, peurs..

Les remettre.

 

M’attendre à une réponse dans l’accueil, l’éveil…(intuition, méditation..)

 

Reconnaissance

 

« Compte tous les bienfaits de Dieu

En les mettant devant tes yeux

Tu verras en adorant

Combien leur nombre en est grand ».

(chant)

 

Odile

Ecrits personnels

20.02.2006

 

Hassenforder (Odile). Sa présence dans ma vie. Empreinte, 2011. Présentation du livre sur le site de Témoins accompagnée de commentaires et de témoignages : http://www.temoins.com/evenements-et-actualites/sa-presence-dans-ma-vie.html