par jean | Avr 8, 2012 | ARTICLES, Vision et sens |
Dans son livre : « Sa présence dans ma vie », Odile Hassenforder aime se rappeler et nous rappeler que la vie n’est pas dépourvue de sens. Ainsi, le dernier chapitre du livre est intitulé : « Tout se tient. Unité et harmonie en Dieu ». Elle écrit : « Qui suis-je pour être « collaboratrice » du créateur ? (Psaume 8). Dieu continue à créer avec chacun de nous et avec moi. « Le Père céleste agit sans cesse », dit Jésus, et il m’invite à participer à la nouvelle création mise en route dans sa résurrection » (p. 209). Extrait de ses écrits personnels et jusqu’ici non publié, dans une forme suggestive, ce texte est court, mais accompagné par des versets bibliques auxquels elle nous renvoie, il nous invite à aller au delà de nos impressions immédiates. JH
Comprendre la sagesse de Dieu.
Dieu a construit sa création
selon des règles de vie.
A nous de les observer
Admirer … adorer le Créateur.
A nous de rentrer dans ses places
Et de collaborer
Car il nous donne la force : toutes qualités : don, vie…intelligence.
Tout le long de la Vie.
Les refus, les obstacles opposés par les hommes sont utilisés par Dieu. Car les hommes enfermés dans leurs erreurs sont l’occasion d’une ouverture pour d’autres.
Chercher le positif que Dieu tire des déviations, épreuves.
Car Il poursuit son œuvre.
Et donne sa grâce, son pardon à tous les hommes
toutes les nations
qui reconnaîtront
Le Dieu de l’Univers
Manifesté à chacun.
Odile Hassenforder
15.10.2006
Textes bibliques en regard
Esaïe 28.23-29
Ecoutez ma parole attentivement.
Quel laboureur laboure la terre en tout temps pour y semer ?..
C’est son Dieu qui l’instruit des règles à suivre
l’enseigne
Car on ne foule pas l’aneth à l’aide d’un rouleau…
Tout cela vient de l’Eternel le Seigneur (de l’Univers).
Son plan est merveilleux
Sa sagesse est immense.
Proverbe 22.19
Pour que tu mettes ta confiance en l’Eternel,
Je vais t’instruire.
Psaume 92
versets 5-7
Ce que tu fais, Seigneur, me remplit de joie
L’ouvrage de tes mains, j’acclamerai
Tes pensées sont grandioses
Tes pensées sont profondes.
L’insensé n’y connaît rien
Le sot ne peut les comprendre.
verset 9
Eternel, tu es souverain pour l’éternité…
Voici. Tes ennemis périssent.
Romains 11
verset 33
Combien profondes sont les richesses de Dieu, sa sagesse et sa science
verset 28-32
Si on considère comment les juifs ont refusé l’Evangile,
Devenus ennemis de Dieu, c’est pour votre bien.
Si on considère le choix de Dieu, ils sont ceux que Dieu aime à cause de leurs ancêtres, car Dieu ne change pas d’idées.
Vous connaissez Dieu parce que les juifs ont désobéi.
Eux aussi connaissent son pardon.
Car Dieu a emprisonné les hommes dans leur désobéissance afin de faire grâce à tous…
Les écrits d’Odile Hassenforder sont une ressource à laquelle nous faisons appel dans ce blog : Voir : « La grâce d’exister » (septembre 2011), « Lorsque Dieu nous parle de bonheur » (octobre 2011), « Accueillir la vie » (décembre 2011), « Horizon de vie » (février 2012).
par | Mar 2, 2012 | ARTICLES, Hstoires et projets de vie, Vision et sens |
Témoignage et réflexion de Philippe Molla en dialogue avec le texte précédent : « Dedans…dehors ! Face à l’exclusion, vivre une commune humanité ».
Merci à Jean pour ce travail personnel si précieux pour moi !
Encore un texte qui respire la liberté !
Ces mots résonnent tellement en moi que j’éprouve le besoin d’écrire
quelques pensées personnelles :
C’est pour moi un appel à sortir de mes conceptions humaines de qui je
crois être, ce regard souvent faussé qui m’empêche d’aller vers
l’autre. Mon prochain que je catalogue si facilement par ce qui
« frappe l’oeil « . Ne suis-je pas le prochain de mon prochain ?
J’ai tellement à apprendre de l’autre, d’une rencontre. Souvent l’homme se
plaint de ne pas trouver Dieu, peut-être par ce qu’il ne sort pas de
son enclos. Qui est notre maître, la crainte ou l’Amour ?
Qu’apprenons-nous dans notre milieu où nous nous construisons ?
Les différences de l’autre sont-elles une menace pour nous ? Ce » qui
sommes nous ? » que nous avons construit, si fragile, faut-il par tous
les moyens le protéger ? Pourquoi ?
À l’âge de 18 ans, je me sentais fort, bien construit. J’avais mes
réponses sur beaucoup de sujets. Cela me donnait beaucoup d’assurance
et une paix intérieur. Mes petites réponses toutes faites sur la vie,
la religion, sur Dieu, me faisaient croire que je détenais la vérité !
(et oui ! J’avais l’esprit bien étroit ! Comme si je pouvais détenir
Dieu, la vérité !)
Mais cette construction m’a inconsciemment isolé. Si l’autre avait
une conception de la vie très différente de la mienne, j’avais
tendance à le cataloguer et le classer par catégorie. J’avais appris
dans ma religion que l’autre était dehors et moi dedans. J’avais
appris à inviter mon prochain dans mon enclos, mon système de pensée
humain, ce que j’appelle « La pensée unique ».
Dans cette démarche aucune connexion profonde avec l’autre n’était
possible. Pourtant, cette connexion est si précieuse, elle n’exige
rien de l’autre, elle n’attend rien de l’autre. Cette connexion où
Dieu peut enfin se révéler parce qu’il est synonyme d’AMOUR!
Alors comment ai-je trouvé le chemin de la liberté, de l’amour, de la
guérison intérieur ?
A travers de vraies rencontres !
Ma rencontre avec ma femme Martine a progressivement révélé mon état
d’homme préfabriqué par la société, par la religion. Notre amour et
sa patience m’ont beaucoup aidé.
A travers, d’autres rencontres aussi. En particulier, une rencontre
profonde avec un homme, qui m’a fait entrevoir ce qu’est un partage où
il n’y a pas de place pour le jugement, les préjugés… Et ensuite, il
n’y en eu beaucoup d’autres.
Dieu a permis que je passe par des tempêtes intérieurs, des problèmes
professionnels, la maladie… Ces épreuves m’ont fragilisé. Mais c’est
dans cet état de fragilité que de véritables rencontres ont surgies.
Où l’amour de Jésus-Christ s’est manifesté, apportant guérison,
changement de mentalité et reconstruction de l’être.
J’ai découvert que Dieu se cache dans notre prochain ! Nous Le
trouvons quand nous acceptons notre fragilité, notre vulnérabilité.
Jésus-Christ n’est pas venu en super héros, mais Il a choisi de
s’exposer. Il a accepté de se rendre vulnérable, fragile, dans le seul
but d’atteindre le coeur de celui qui se sent en manque de tout,
rejeté, exclu, pauvre, pêcheur, malade, seul dans sa souffrance,
esclave de ses vices, prisonnier de sa religion, prisonnier de son
clan familial, prisonnier de sa société…
Quand j’ai lu le titre « Dedans…Dehors », j’ai tout de suite pensé à la
parabole du Bon Berger.
Cette invitation à la liberté.
Et aussi au mot église.
Ce mot église est très peu utilisé dans les évangiles. Donc, j’imagine
que Jésus l’a très peux prononcé. Peut être pour éviter qu’il soit
mal utilisé, mal interprété en créant des divisions entre tous les
hommes, des clans. Tous ces hommes à qui Jésus-Christ a donné sa vie
sur la croix, cette croix si douloureuse. Cette croix, où, bras
ouverts, il dit: «Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils
font.» L’Amour personnifié, ne laissant aucune place pour le jugement !
Cette Amour qui unit tous les hommes !
Ce mot église, « ekklesia » en grec, composé de ek et dérivé de kaleo.
Ek: hors de
Kaleo: donner un nom, appeler.
On pourrait traduire église par » les appelés par leur nom (dans le
sens unique, relation personnelle et intime avec le créateur) à sortir
hors de »
Pour comprendre la parabole du Bon Berger, il faut connaître comment
procédait un berger à l’époque de Jésus. Le berger avait un associé
qui gardait les moutons dans la bergerie, le gardien. Quand le berger
se rapprochait de la bergerie, il commençait à appeler ses brebis par
leur nom. (Cette notion de donner un nom unique à chaque brebis,
montre que le berger connaissait bien ses brebis, il passait beaucoup
de temps avec elles) Alors le gardien ouvrait la porte et les brebis
couraient avec excitation rejoindre leur berger. Le berger faisait
demi-tour et marchait en direction des verts pâturages.
Les brebis reconnaissent très bien la voix et les sons . Je connais
bien ce sujet. J’ai passé beaucoup de temps dans ma jeunesse avec une
brebis et son agneau:
Une brebis a soif de liberté, elle recherche à atteindre toujours
l’herbe fraîche qui se trouve de l’autre coté de la clôture.
il faut beaucoup de patience pour approcher une brebis.
Elle est vite dominée par la crainte, ce qui la pousse à mettre sa vie
en danger, ainsi que la vie de son agneau…
Je finirai par ces passages:
Jean 10:4
Quand IL les a tous fait sortir, il marche devant eux. Et ses moutons
le suivent, parce qu’ils connaissent sa voix.Ils ne suivront jamais
quelqu’un d’autre. Au contraire, ils fuiront loin de lui, parce qu’ils
ne connaissent pas la voix des autres personnes.»
Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour accompli chasse la
crainte; car la crainte suppose le châtiment, et celui qui craint
n’est pas accompli dans l’amour. (1 Jean. 4.18)
Alors sortons découvrir ce que Dieu a caché comme trésors merveilleux !
Ces trésors préparés spécialement pour nous, être unique, aimé de
son créateur !!
Psaumes 65:
Quand TU passes, les richesses débordent. Les terres sèches sont
couvertes de récoltes, les collines sont entourées de joie. Les
pâturages portent les moutons et les chèvres, les vallées sont
couvertes de blé. Toute la campagne chante et danse de joie.
Alors qu’est ce qui nous empêche de faire de véritables rencontres où
la VIE circule
Philippe Molla
Voir sur ce blog (7 octobre 2011) un autre texte de Philippe :
« Un chantier peut-il être convivial ? »
par jean | Fév 15, 2012 | ARTICLES, Vision et sens |
Qui n’aspire pas à une vie harmonieuse par delà tout ce qui peut nous entraver parfois douloureusement ? En ce domaine, notre avancée dépend pour une bonne part de notre regard.
Pour les chrétiens, l’harmonie est reconnue et se répand à travers l’œuvre de Dieu, ce que Jésus appelle le « Royaume de Dieu » . Comment peut-on y accéder et y participer dans notre vie intérieure ? « Odile Hassenforder, dans son livre : « Sa présence dans ma vie » nous guide dans une recherche de plénitude et partage avec nous une expérience qui a changé sa vie, nous offrant ainsi un véritable condensé d’espérance » (1). Nous présentons ici un texte inédit, extrait de ses écrits personnels qui, dans sa spontanéité, nous parle de respiration spirituelle : « Le Royaume de Dieu et sa justice ».
Le Royaume de Dieu et sa justice.
Justice : justesse
bien ajustée
Les lois de vie étant respectées au niveau spirituel, les autres niveaux se mettent en place. C’est pourquoi, ceux-ci seront donnés par surcroît.
Il ne m’appartient pas de savoir comment pousse ce qui est semé. Je ne suis pas propriétaire. C’est l’affaire de l’Esprit. Je sais une chose : toute personne est aimée de Dieu telle qu’elle est.
Psaume 89 :
« Je chanterai toujours les bontés de l’Eternel…Car je dis : la bonté a des fondements éternels ».
Les béatitudes.
° Conscience ++ que Jésus et le Père demeurent en moi.
D’où dialogue : « priez sans cesse.. »..
° Temple de l’Esprit : lien-relation indestructible.
Jésus a fait connaître le Père sur terre et lui demande « En ta présence, donne moi la gloire auprès de toi avant que le monde existe.. ». Jean 17
La Vie Eternelle : connaître le seul vrai Dieu en Jésus Christ..
Non pas retrouver le jardin d’Eden, ce qui est souvent notre envie, notre désir de se dorer sur la plage au repos
Mais la Terre promise , en marche avec courage, fortifie.
« L’Eternel marchera lui-même devant toi » (Josué 1.13 Deutéronome 31.7).
La louange précède l’intercession.
Quand je regarde le matin
Le paysage de ma fenêtre,
Le ciel qui s’illumine, rose, rouge, ou blanc, bleu,
Les nuages qui avancent…
Je rentre dans l’univers
J’y respire, va et vient
inspire : me laisser imprégner
expire : me dilater dans l’univers
fenêtre ouverte : respiration une narine après l’autre : altérité.
Conscience d’une dimension cosmique
A laquelle j’appartiens.
La louange Tu es mon Dieu
adoration et je t’adorerai
prosternation (chant)
Liberté, contentement, joie, plénitude…
Que la pensée de Dieu devienne ma pensée
Alors, je peux exprimer mes besoins..
Les soucis, peurs..
Les remettre.
M’attendre à une réponse dans l’accueil, l’éveil…(intuition, méditation..)
Reconnaissance
« Compte tous les bienfaits de Dieu
En les mettant devant tes yeux
Tu verras en adorant
Combien leur nombre en est grand ».
(chant)
Odile
Ecrits personnels
20.02.2006
Hassenforder (Odile). Sa présence dans ma vie. Empreinte, 2011. Présentation du livre sur le site de Témoins accompagnée de commentaires et de témoignages : http://www.temoins.com/evenements-et-actualites/sa-presence-dans-ma-vie.html
par jean | Fév 15, 2012 | ARTICLES, Expérience de vie et relation, Vision et sens |
Jadis, et aujourd’hui encore, dans certaines civilisations, il y a comme une proximité entre les vivants et les morts. Cette proximité peut être vécue comme une atteinte à l’autonomie et à l’initiative des vivants. Contre cet excès, il y a eu un mouvement de bascule en sens inverse. Aujourd’hui, dans le tohu bohu d’une vie trépidante, on oublie facilement ceux qui ont quitté l’univers terrestre. A cet égard, le terme de disparition, s’il peut être entendu dans des sens différents, évoque néanmoins une rupture des contacts et des liens. Cette représentation s’oppose à ce qui, dans les liens affectifs, appelle une continuité, quelque soient les transformations évidemment nécessaires.
Cependant aujourd’hui, une nouvelle représentation de l’univers apparaît . Dans le passé, une approche analytique a souvent prévalu en mettant davantage l’accent sur ce qui sépare que sur ce qui relie. Aujourd’hui, une pensée holistique se développe comme en témoigne le progrès de l’écologie . On perçoit de plus en plus les interrelations, les interconnexions qui caractérisent notre univers. Internet exerce une influence sur tous les registres, y compris nos représentations. On a pu définir la spiritualité comme « une conscience relationnelle ». La présence d’une « conscience supérieure » dans l’univers peut ainsi être perçue comme ce qui porte une montée de la reliance et s’oppose à une chute dans la dispersion et le néant.
Dans une perspective chrétienne, telle que nous la présente Jürgen Moltmann, un grand théologien qui sait entrer en phase avec le mouvement de notre culture, une « nouvelle pensée trinitaire » met l’accent sur une représentation de Dieu comme une communion d’amour entre les personnes divines. De même, la réjouissance des êtres humains en Dieu est partagée. « Les hommes se réjouissent de Dieu et Dieu est heureux de son peuple » (Esaïe 65.19). Cette réjouissance n’est pas destinée à être vécue solitairement. « La communion directe avec Dieu conduit à une communion directe des êtres humains entre eux… »
Dans cette perspective, les êtres humains recueillis par Dieu après leur mort participent à une communion en Christ. Et, par delà, il y a « une communion entre les vivants et les morts ». La communion du Christ s’étend à la fois aux vivants et aux mort. « C’est pour être Seigneur des morts et des vivants que Christ est mort et qu’Il a repris vie » (Romains 14.91). Ainsi, il n’y a pas de barrière entre les vivants et les morts. La communion du Christ comprend en quelque sorte deux demi cercles : d’un côté la communauté des vivants, de l’autre côté, celle des morts. L’espace de vie des vivants a des frontières ouvertes comme celui de l’espace des morts. « Il y a bien une communion « infrangible et indestructible » entre les vivants et les morts. Celle-ci s’exerce en Christ, « non pas une communion dans l’expiation, mais une communion dans la même espérance…En Christ ressuscité, il existe une présence des morts avec nous les vivants ». Il n’y a pas de barrière entre les « humains terrestres » et les « humains célestes » selon une appellation qui nous vient comme suggestive.
Et comment cette proximité des morts peut-elle se manifester ? Elle se déploie dans la communion en Christ. « Chaque fois que l’amour inconditionnel de Dieu nous devient proche, les morts que nous aimons nous sont proches aussi. Plus nous devenons proches du Christ, plus nous entrons dans la communion avec les morts ».
Et, ensemble, vivants et morts, nous sommes en marche avec le Christ, dans le processus qui mène à l’avènement du Royaume de Dieu, à la seconde création.
A l’expérience, on constate que le message apporté sur ce thème par différents milieux chrétiens est parfois brouillé par les séquelles d’un héritage où le pouvoir religieux a érigé des représentations de l’au-delà et les a utilisé à son profit, où des camps opposés ont dressé des barrières, où une culture de la peur s’est imposée à travers les mentalités. C’est pourquoi, en réponse à des aspirations vitales, une question majeure de sens, une question de vie ou de mort, la clarification théologique apportée par Jürgen Moltmann, nous paraît bienfaisante. A partir des textes bibliques, il nous introduit ainsi dans la signification de la résurrection. La vie éternelle ne se définit pas en opposition avec la vie terrestre. « Résurrection des morts » signifie que cet être mortel revêtira l’immortalité (1 Corinthiens 15.54). Les termes les plus proches de la résurrection dont il est question dans le Nouveau Testament sont « transformation » (1 Corinthiens 15.54). et « transfiguration ». La résurrection signifie alors qu’un être humain trouve en Dieu, sa guérison, sa réconciliation et son accomplissement »
Nous sommes, ensemble, en chemin, vers un univers renouvelé, une seconde création où Dieu sera tout en tous (1 Corinthiens 15.28).
JH
Les sources sont mentionnées dans l’article : « La vie par delà la mort » publié sur la site : « l’Esprit qui donne la vie »
http://www.lespritquidonnelavie.com/?p=822Il Il s’agit notamment du livre : Moltmann (Jürgen). La venue de Dieu. Eschatologie chrétienne. Cerf, 1997.