Comprendre la sagesse de Dieu

Dans son livre : « Sa présence dans ma vie », Odile Hassenforder  aime se rappeler et nous rappeler que la vie n’est pas dépourvue de sens. Ainsi, le dernier chapitre du livre est intitulé : « Tout se tient. Unité et harmonie en Dieu ». Elle écrit : « Qui suis-je pour être « collaboratrice » du créateur ?  (Psaume 8). Dieu continue à créer avec chacun de nous et avec moi. « Le Père céleste agit sans cesse », dit Jésus, et il m’invite à participer à la nouvelle création mise en route dans sa résurrection » (p. 209). Extrait de ses écrits personnels et jusqu’ici non publié, dans une forme suggestive, ce texte est court, mais accompagné par des versets bibliques auxquels elle nous renvoie, il nous invite à aller au delà de nos impressions immédiates.   JH

 

Comprendre la sagesse de Dieu.

 

Dieu a construit sa création

selon des règles de vie.

A nous de les observer

Admirer … adorer le Créateur.

 

A nous de rentrer dans ses places

Et de collaborer

Car il nous donne la force : toutes qualités : don, vie…intelligence.

Tout le long de la Vie.

 

Les refus, les obstacles opposés par les hommes sont utilisés par Dieu. Car les hommes enfermés dans leurs erreurs sont l’occasion d’une ouverture pour d’autres.

Chercher le positif que Dieu tire des déviations, épreuves.

Car Il poursuit son œuvre.

 

Et donne sa grâce, son pardon à tous les hommes

toutes les nations

qui reconnaîtront

Le Dieu de l’Univers

Manifesté à chacun.

 

Odile Hassenforder

15.10.2006

 

 

Textes bibliques en regard

 

Esaïe 28.23-29

 

Ecoutez ma parole attentivement.

Quel laboureur laboure la terre en tout temps pour y semer ?..

C’est son Dieu qui l’instruit des règles à suivre

l’enseigne

Car on ne foule pas l’aneth à l’aide d’un rouleau…

Tout cela vient de l’Eternel le Seigneur (de l’Univers).

Son plan est merveilleux

Sa sagesse est immense.

 

Proverbe 22.19

 

Pour que tu mettes ta confiance en l’Eternel,

Je vais t’instruire.

 

Psaume 92

versets 5-7

 

Ce que tu fais, Seigneur, me remplit de joie

L’ouvrage de tes mains, j’acclamerai

Tes pensées sont grandioses

Tes pensées sont profondes.

L’insensé n’y connaît rien

Le sot ne peut les comprendre.

 

verset 9

Eternel, tu es souverain pour l’éternité…

Voici. Tes ennemis périssent.

 

Romains 11

verset 33

Combien profondes sont les richesses de Dieu, sa sagesse et sa science

 

verset 28-32

Si on considère comment les juifs ont refusé l’Evangile,

Devenus ennemis de Dieu, c’est pour votre bien.

Si on considère le choix de Dieu, ils sont ceux que Dieu aime à cause de leurs ancêtres, car Dieu ne change pas d’idées.

Vous connaissez Dieu parce que les juifs ont désobéi.

Eux aussi connaissent son pardon.

Car Dieu a emprisonné les hommes dans leur désobéissance afin de faire grâce à tous…

 

Les écrits d’Odile Hassenforder sont une ressource à laquelle nous faisons appel dans ce blog : Voir : « La grâce d’exister » (septembre 2011), « Lorsque Dieu nous parle de bonheur » (octobre 2011), « Accueillir la vie » (décembre 2011), « Horizon de vie » (février 2012).

Quand on n’a que l’amour

Amour reçu. Amour donné : une vie pleine.

Amour vécu au long des années : au delà des épreuves, une vie comblée. Amour d’un jeune couple : promesse de lendemain. Compagnonnage où des gens esseulés, rompus parfois par des séparations et des brisements, reprennent vie.

Mais, au sens large, l’amour recouvre de multiples registres, de l’amour entre parents et enfants jusqu’à toutes les amitiés profondes qui s’expriment dans un partage, source de paix et de joie. Et les petits gestes d’affection et de reconnaissance dans la vie quotidienne : un  sourire, un regard. C’est l’œuvre de Dieu. Nous lisons la parole biblique comme l’expression du projet d’amour d’un Dieu  qui est, lui-même, communion d’amour. Le cœur de l’Evangile, c’est l’amour : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé (Evangile de Jean 15.2)

Certains vivent déjà cette réalité. D’autres sont à sa recherche. Ils l’appellent dans les travers de leur vie, la solitude ou la tourmente. Plus ou moins confusément, ils crient des prisons où ils peuvent s’être enfermés. En réponse, sans cesse, l’Esprit est à l’œuvre et cherche à se faire entendre. Dans la multiplicité des chemins et des situations, l’amour est plus ou moins clairement ressenti comme la seule réponse capable d’apporter une vie pleine et de donner la capacité de faire face individuellement et collectivement aux manifestations du mal.

 

Désormais inscrit dans la mémoire collective, et à nous transmis dans telle ou telle circonstance, une chanson monte en réponse à ces questionnements et à ces prises de conscience. C’est la chanson de Jacques Brel : « Quand on a que l’amour ».  Cette voix se rappelait à moi, et, dans le détour d’une recherche sur internet, je l’ai retrouvé sur le site des éditions Monte Christo dans la sélection vidéo des « Réenchanteurs ». Que ceux qui ont des oreilles entendent ! Que ceux qui sont en recherche écoutent ! il y a déjà une réponse dans l’esprit qui s’exprime sur ce site et dans cette rubrique : « rubrique consacré au réenchantement, à l’expression de la vie dans ce qu’elle a de merveilleux, d’unique, d’édifiant, afin que nous choisissions notre camp : celui des veilleurs de valeurs et des passeurs de lumière et d’espérance . Quelques minutes pour prendre le temps de vivre, pour renouveler son regard sur le précieux de la vie pour renouer avec les simplicités originelles hors desquelles il n’y a point de plénitude possible ».

Et donc, cette rubrique, à la mention : « Amour, joie d’aimer. Le pouvoir transfigurateur de l’amour » nous présente la chanson de Jacques Brel : « Quand on a que l’amour ». Une chanson qui vient de loin puisqu’elle date de 1956 et qui s’exprime dans cette vidéo selon le contexte et la forme de l’époque : « Une vidéo  dépouillée, sans couleurs et sans paillettes, sans artifice et musique synthétique qui montre un chanteur sans masque, à fleur de peau tel qu ‘en lui-même et qui se donne totalement dans une énergie et une générosité magnifiques ». Cette chanson connut un grand succès à l’époque. Elle retentit aujourd’hui avec la même force.

http://www.montecristo-editions.com/site/pages/reenchanteurs/video.php?video=101

 

Et on peut en méditer ici quelques paroles : « Quand on a que l’amour à offrir en prière pour les maux de la terre en simples troubadours. Quand on a que l’amour pour tracer un chemin et forcer le destin à chaque carrefour. Quand on a que l’amour pour parler aux canons et rien qu’une chanson pour convaincre un tambour. Alors, sans avoir rien que la force d’aimer, nous avons dans nos mains, Amis, le monde entier ! ». Gandhi et Martin Luther King nous ont montré que l’amour, sous la forme de la non violence, pouvait triompher de pouvoirs oppresseurs. Ainsi l’amour est une force qui agit à la fois sur le plan personnel et sur le plan collectif . L’amour déplace les montagnes. L’amour apporte la vie.

 

JH

Sur la terre comme au ciel

Jadis, et aujourd’hui encore, dans certaines civilisations, il y a comme une proximité entre les vivants et les morts. Cette proximité peut être vécue comme une atteinte à l’autonomie et à l’initiative des vivants. Contre cet excès, il y a eu un mouvement de bascule en sens inverse. Aujourd’hui, dans le tohu bohu d’une vie trépidante, on oublie facilement ceux qui ont quitté l’univers terrestre. A cet égard, le terme de disparition, s’il  peut être entendu dans des sens différents, évoque néanmoins une rupture des contacts et des liens. Cette représentation s’oppose à ce qui, dans les liens affectifs, appelle une continuité, quelque soient les transformations évidemment nécessaires.

Cependant aujourd’hui, une nouvelle représentation de l’univers apparaît . Dans le passé, une approche analytique a souvent prévalu en mettant davantage l’accent sur ce qui sépare que sur ce qui relie. Aujourd’hui, une pensée holistique se développe comme en témoigne le progrès de l’écologie . On perçoit de plus en plus les interrelations, les interconnexions qui caractérisent notre univers. Internet exerce une influence sur tous les registres, y compris nos représentations. On a pu définir la spiritualité comme « une conscience relationnelle ». La présence d’une « conscience supérieure » dans l’univers peut ainsi être perçue comme ce qui porte une montée de la reliance et s’oppose à une chute dans la dispersion et le néant.

 

Dans une perspective chrétienne, telle que nous la présente Jürgen Moltmann, un grand théologien qui sait entrer en phase avec le mouvement de notre culture, une « nouvelle pensée trinitaire » met l’accent sur une représentation de Dieu comme une communion d’amour entre les personnes divines. De même, la réjouissance des êtres humains en Dieu est partagée. « Les hommes se réjouissent de Dieu et Dieu est heureux de son peuple » (Esaïe 65.19). Cette réjouissance n’est pas destinée à être vécue solitairement. « La communion directe avec Dieu conduit à une communion directe des êtres humains entre eux… »

Dans cette perspective, les êtres humains recueillis par Dieu après leur mort participent à une communion en Christ. Et, par delà, il  y a « une communion entre les vivants et les morts ». La communion du Christ s’étend à la fois aux vivants et aux mort. « C’est pour être Seigneur des morts et des vivants que Christ est mort et qu’Il a repris vie » (Romains 14.91). Ainsi, il n’y a pas de barrière entre les vivants et les morts. La communion du Christ comprend en quelque sorte deux demi cercles : d’un côté la communauté des vivants, de l’autre côté, celle des morts. L’espace de vie des vivants a des frontières ouvertes comme celui de l’espace des morts. « Il y a bien une communion « infrangible et indestructible » entre les vivants et les morts. Celle-ci s’exerce en Christ, « non pas une communion dans l’expiation, mais une communion dans la même espérance…En Christ ressuscité, il existe une présence des morts avec nous les vivants ». Il n’y a pas de barrière entre les « humains terrestres » et les « humains célestes » selon une appellation qui nous vient comme suggestive.

Et comment cette proximité des morts peut-elle se manifester ? Elle se déploie dans la communion en Christ. « Chaque fois que l’amour inconditionnel de Dieu nous devient proche, les morts que nous aimons nous sont proches aussi. Plus nous devenons proches du Christ, plus nous entrons dans la communion avec les morts ».

Et, ensemble, vivants et morts, nous sommes en marche avec le Christ, dans le processus qui mène à l’avènement du Royaume de Dieu, à la seconde création.

 

A l’expérience, on constate que le message apporté sur ce thème par différents milieux chrétiens est parfois brouillé par les séquelles d’un héritage où le pouvoir religieux a érigé des représentations de l’au-delà et les a utilisé à son profit, où des camps opposés ont dressé des barrières, où une culture de la peur s’est imposée à travers les mentalités. C’est pourquoi, en réponse à des aspirations vitales, une question majeure de sens, une question de vie ou de mort, la clarification théologique apportée par Jürgen Moltmann, nous paraît bienfaisante. A partir des textes bibliques, il nous introduit ainsi dans la signification de la résurrection. La vie éternelle ne se définit pas en opposition avec la vie terrestre. « Résurrection des morts » signifie que cet être mortel revêtira l’immortalité (1 Corinthiens 15.54). Les termes les plus proches de la résurrection dont il est question dans le Nouveau Testament sont « transformation » (1 Corinthiens 15.54). et « transfiguration ». La résurrection signifie alors qu’un être humain trouve en Dieu, sa guérison, sa réconciliation et son accomplissement »

 

Nous sommes, ensemble, en chemin, vers un univers renouvelé, une seconde création où Dieu sera tout en tous  (1 Corinthiens 15.28).

 

JH

 

Les sources sont mentionnées dans l’article : « La vie par delà la mort » publié sur la site : « l’Esprit qui donne la vie »

http://www.lespritquidonnelavie.com/?p=822Il Il s’agit notamment du livre : Moltmann (Jürgen). La venue de Dieu. Eschatologie chrétienne. Cerf, 1997.

En eau profonde

 

Le coq chante la venue de l’aube.

J’ai vu tout l’avenir
J’ai remonté le temps
Et ma pensée embrasse le présent.
Rien n’échappe à mon regard
J’ai tout vu, tout entendu
Et j’en suis mort.

 

Mille plaintes montent vers moi

Comme le bruit d’une ville.

Les larmes d’un enfant renverse l’ordre du monde.

La discrète parole d’un malade pudique

Se fait irrépressible attente

Et l’interpellation est comme une marée

Qui sans cesse retombe.

Le sourd rugissement d’un homme abandonné

S’achève en râle parmi des hurlements

La dame aux cheveux blancs se traîne

Et rêve d’un passé qui ne reviendra plus.

De l’avenir me viennent les confidences de cœurs meurtris

Le passé n’est que film de maisons dévastées

Et le trop de savoir sur son propre destin

Emplit mes yeux d’effrois sur mes lendemains.

 

A l’appel du maître, la queue du chien frétille

Et il s’en va trottant sur les sentiers

Et la machine tourne au rythme régulier

Que, l’homme, dans sa sagesse, lui a donné.

Certains vont à peine éveillés

A la recherche d’un sujet d’allèchement

Et s’ils ne voient pas les violettes au printemps

Ils ne voient pas non plus dans le long caniveau

Le dernier chat écrasé de la nuit.

J’ai tout vu, tout entendu et j’en suis mort.

 

La plainte du malade appelle le médecin

Mille efforts convergent pour réduire l’incendie

Pour combattre le mal, il faut le connaître.

 

Et notre souffrance est une plaie visible

Le fauve bat la campagne cherchant qui dévorer

La bête nous est cachée dans une obscurité

Je porte une blessure, celle de la souffrance

Mais plus encore un regard ennemi

Et ce regard indifférent et cette absence

Pas une citadelle n’est sure, l’ennemi a ses intelligences

Une sinistre musique trouve en ses membres

Un écho inconnu.

 

Il est mort assassiné

Car nos yeux trop obscurs n’ont pas vu la lumière

Maître de l’univers, son cœur n’a pas fléchi

Et s’il a subi la contamination

C’est pour nous apporter sa force et sa confiance

La vraie vaccination

Son regard appelle les nôtres à travers l’histoire

Pour que nous fassions un

Et que de notre terre s’élève

Hors des déchirements

Le chant d’une harmonie et d’un enfantement

Et au-delà de nos souffrances actuelles

Et du champ mélangé du blé et d’herbes folles

Le coq chante la venue de l’aube.

 

 

Ultime réalité

 

Les traces de nos pas s’effacent sur la plage

Si tout devait périr

Si la vie n’était

Qu’un rêve passager

Une illusion brillante

Ou un cauchemar

A quoi bon vivre ?

 

Mais autre est la réalité.

 

 

Appel

 

Comme un enfant appelle son père, lui dit : « regarde »

Vois ce château de sable,

Vois ces notes obtenues,

Dans l’ardeur de la plage

Ou dans l’étude nue,

Et comme le poète

Qui juste en lui concentre

L’énergie d’un monde, la force des saisons,

Les murmures sourds des joies et des douleurs

Qui de la ville montent,

Les pleurs du passé et ses enfantillages et ses enfantements

L’avenir qui se profile derrière les bastingages,

Le bruit d’une fusée allant au firmament,

Et qui, de tout cela,fait le miel d’un poème

Et dévoile à nos yeux un miroir caché

Comme le bâtisseur dresse la pyramide

Et qu’en lui se préparent les greniers de demain,

Des maisons plus belles que l’immense assemblage

Dont la médiocrité ne s’enfuit que le soir

Lorsque de la terre et du ciel les étoiles se confondent,

Seigneur, nous t’offrons ces cathédrales,

Ces œuvres jaillies de notre solitude

Et cette immense attente d’être enfin reconnu :

Le regard d’un enfant qui appelle un sourire,

La joie de deux époux qui nécessaires se savent

Le travail de l’artiste et son cri déchirant

Qui nous appelle à l’aide de notre ensommeillement.

 

 

Au hasard des bivouacs s’en va le voyageur

Et, comme des mouettes, filent les caravelles sur le sombre océan,

Du plus profond des temps viennent des pèlerinages,

Et des humanités frémissent et tourbillonnent sur des continents.

 

La cheminée d’usine disparaît dans la brume,

Et les palais s’effritent au sable du désert.

Mais où seront demain nos cités et nos terres

Et l’écho de nos voix qui parsème le ciel ?

 

Toi seul, peux nous voir

Comme le berger regarde

A l’heure du couchant les brebis dispersées

Toi seul, peux savoir

Ce que cache un chef d’œuvre

Le plus humble et le plus ignoré

Et quel appel il fait monter à l’infini

Plus loin que la planète et plus loin que l’étoile

Un cri a déchiré l’immensité.

Nous t’attendons.

 

JH

 

 

 Source des photos: galeries de: fr Antunes, Captpiper, Ecstaticist, Mikebaird, Pink Sherbet, Skipnclick sur le site Flickr

En marche

 

 

Fatalité. Résignation. Immobilité. Enfermement. Peur. Tristesse. Mort. Fuite. Ailleurs. « Sans vision, le peuple périt » (Prov. 29.18).

 

Bourgeonnement. Engendrement. Emergence. « Douleurs de l’enfantement » (Rom. 8.22). Projet. Anticipation. Nouveauté. Avenir. Espérance.

 

« Espérer : considérer ce qu’on désire comme devant se réaliser » (Petit Robert). Je m’attends à toi. J’ai confiance.

 

Souffrance. Angoisse. Déprime. Malgré tout. « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous » (Rom. 8.31)). « J’ai mis devant toi la vie et la mort. Choisis la vie » (Deut. 30.19).

 

Amour. Communion. Sur la terre comme au ciel.  « Dieu fait pour nous des projets de bonheur et non de malheur »  (Jér. 29.11).

 

Promesse. « Dieu qui donne la vie aux morts et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient » (Rom. 4.7)). Christ ressuscité. Vie . Puissance de Vie.  « Il souffla sur eux et leur dit : Recevez le Saint Esprit » (Jean 20.22). Souffle du Dieu Vivant.

 

« Il est au milieu de vous et dans le monde entier. Il porte des fruits et Il va grandissant » (Colossiens 1.6). Nouvelle création. « Dieu tout en tous » (1 Cor.15.26). « Voici, je fais toutes choses nouvelles » (Ap. 21.5).

 

En marche. « Abonder en espérance par la puissance du Saint Esprit » (Rom.15.13).

 

JH