Peindre, c’est aussi parler

Pour moi l’acte de peindre est en parallèle avec l’acte de parler.

Je préfère parler à Dieu que de parler de Dieu,

Et ce n’est pas si facile de mettre en paroles le mouvement de l’âme !

Alors pour mettre en mots l’Invisible qui m’habite, rendre visible mon dialogue avec Lui. Ma passion va  manifester  simultanément en  couleurs et formes cette Lumière qui m’éclaire.

Pour faire transparaître cette Clarté, j’ajoute une goutte ou du papier en or, pour mettre au jour ce Bien si précieux.

L’existence de l’ombre à sa place pour encore plus révéler l’ intensité et la présence de Sa Brillance.

Lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, au terme de mon œuvre, une joie et une paix sont là, simplement mais éphémères  jusqu’à une  prochaine concrétisation.

Brigitte Deris

 

 

 

On pourra également apprécier les peintures de Brigitte sur une galerie figurant sur le site de Témoins

http://www.temoins.com/culture-et-societe/galleries/category/7-brigittederis.html

 

 

Horizon de vie

Qui n’aspire pas à une vie harmonieuse par delà tout ce qui peut nous entraver parfois douloureusement ? En ce domaine, notre avancée dépend pour une bonne part de notre regard.

Pour les chrétiens, l’harmonie est reconnue et se répand à travers l’œuvre de Dieu, ce que Jésus appelle le « Royaume de Dieu » . Comment peut-on y accéder et y participer dans notre vie intérieure ? « Odile Hassenforder, dans son livre : « Sa présence dans ma vie » nous guide dans une recherche de plénitude et partage avec nous une expérience qui a changé sa vie, nous offrant ainsi un véritable condensé d’espérance » (1). Nous présentons ici un texte inédit, extrait de ses écrits personnels qui, dans sa spontanéité, nous parle de respiration spirituelle : « Le Royaume de Dieu et sa justice ».

 

 

Le Royaume de Dieu et sa justice.

 

Justice : justesse

bien ajustée

 

Les lois de vie étant respectées au niveau spirituel, les autres niveaux se mettent en place. C’est pourquoi, ceux-ci seront donnés par surcroît.

 

Il ne m’appartient pas de savoir comment pousse ce qui est semé. Je ne suis pas propriétaire. C’est l’affaire de l’Esprit. Je sais une chose : toute personne est aimée de Dieu telle qu’elle est.

 

Psaume 89 :

« Je chanterai toujours les bontés de l’Eternel…Car je dis : la bonté a des fondements éternels ».

 

Les béatitudes.

 

° Conscience ++ que Jésus et le Père demeurent en moi.

D’où dialogue : « priez sans cesse.. »..

 

° Temple de l’Esprit : lien-relation indestructible.

Jésus a fait connaître le Père sur terre et lui demande « En ta présence, donne moi la gloire auprès de toi avant que le monde existe.. ».  Jean 17

La Vie Eternelle : connaître le seul vrai Dieu en Jésus Christ..

 

Non pas retrouver le jardin d’Eden, ce qui est souvent notre envie, notre désir de se dorer sur la plage au repos

Mais la Terre promise , en marche avec courage, fortifie.

« L’Eternel marchera lui-même devant toi » (Josué 1.13  Deutéronome 31.7).

 

La louange précède l’intercession.

 

Quand je regarde le matin

Le paysage de ma fenêtre,

Le ciel qui s’illumine, rose, rouge, ou blanc, bleu,

Les nuages qui avancent…

 

Je rentre dans l’univers

J’y respire, va et vient

inspire : me laisser imprégner

expire : me dilater dans l’univers

fenêtre ouverte : respiration une narine après l’autre : altérité.

 

Conscience d’une dimension cosmique

A laquelle j’appartiens.

La louange             Tu es mon Dieu

adoration           et je t’adorerai

prosternation      (chant)

 

Liberté, contentement, joie, plénitude…

Que la pensée de Dieu devienne ma pensée

 

Alors, je peux exprimer mes besoins..

Les soucis, peurs..

Les remettre.

 

M’attendre à une réponse dans l’accueil, l’éveil…(intuition, méditation..)

 

Reconnaissance

 

« Compte tous les bienfaits de Dieu

En les mettant devant tes yeux

Tu verras en adorant

Combien leur nombre en est grand ».

(chant)

 

Odile

Ecrits personnels

20.02.2006

 

Hassenforder (Odile). Sa présence dans ma vie. Empreinte, 2011. Présentation du livre sur le site de Témoins accompagnée de commentaires et de témoignages : http://www.temoins.com/evenements-et-actualites/sa-presence-dans-ma-vie.html

Quand on n’a que l’amour

Amour reçu. Amour donné : une vie pleine.

Amour vécu au long des années : au delà des épreuves, une vie comblée. Amour d’un jeune couple : promesse de lendemain. Compagnonnage où des gens esseulés, rompus parfois par des séparations et des brisements, reprennent vie.

Mais, au sens large, l’amour recouvre de multiples registres, de l’amour entre parents et enfants jusqu’à toutes les amitiés profondes qui s’expriment dans un partage, source de paix et de joie. Et les petits gestes d’affection et de reconnaissance dans la vie quotidienne : un  sourire, un regard. C’est l’œuvre de Dieu. Nous lisons la parole biblique comme l’expression du projet d’amour d’un Dieu  qui est, lui-même, communion d’amour. Le cœur de l’Evangile, c’est l’amour : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé (Evangile de Jean 15.2)

Certains vivent déjà cette réalité. D’autres sont à sa recherche. Ils l’appellent dans les travers de leur vie, la solitude ou la tourmente. Plus ou moins confusément, ils crient des prisons où ils peuvent s’être enfermés. En réponse, sans cesse, l’Esprit est à l’œuvre et cherche à se faire entendre. Dans la multiplicité des chemins et des situations, l’amour est plus ou moins clairement ressenti comme la seule réponse capable d’apporter une vie pleine et de donner la capacité de faire face individuellement et collectivement aux manifestations du mal.

 

Désormais inscrit dans la mémoire collective, et à nous transmis dans telle ou telle circonstance, une chanson monte en réponse à ces questionnements et à ces prises de conscience. C’est la chanson de Jacques Brel : « Quand on a que l’amour ».  Cette voix se rappelait à moi, et, dans le détour d’une recherche sur internet, je l’ai retrouvé sur le site des éditions Monte Christo dans la sélection vidéo des « Réenchanteurs ». Que ceux qui ont des oreilles entendent ! Que ceux qui sont en recherche écoutent ! il y a déjà une réponse dans l’esprit qui s’exprime sur ce site et dans cette rubrique : « rubrique consacré au réenchantement, à l’expression de la vie dans ce qu’elle a de merveilleux, d’unique, d’édifiant, afin que nous choisissions notre camp : celui des veilleurs de valeurs et des passeurs de lumière et d’espérance . Quelques minutes pour prendre le temps de vivre, pour renouveler son regard sur le précieux de la vie pour renouer avec les simplicités originelles hors desquelles il n’y a point de plénitude possible ».

Et donc, cette rubrique, à la mention : « Amour, joie d’aimer. Le pouvoir transfigurateur de l’amour » nous présente la chanson de Jacques Brel : « Quand on a que l’amour ». Une chanson qui vient de loin puisqu’elle date de 1956 et qui s’exprime dans cette vidéo selon le contexte et la forme de l’époque : « Une vidéo  dépouillée, sans couleurs et sans paillettes, sans artifice et musique synthétique qui montre un chanteur sans masque, à fleur de peau tel qu ‘en lui-même et qui se donne totalement dans une énergie et une générosité magnifiques ». Cette chanson connut un grand succès à l’époque. Elle retentit aujourd’hui avec la même force.

http://www.montecristo-editions.com/site/pages/reenchanteurs/video.php?video=101

 

Et on peut en méditer ici quelques paroles : « Quand on a que l’amour à offrir en prière pour les maux de la terre en simples troubadours. Quand on a que l’amour pour tracer un chemin et forcer le destin à chaque carrefour. Quand on a que l’amour pour parler aux canons et rien qu’une chanson pour convaincre un tambour. Alors, sans avoir rien que la force d’aimer, nous avons dans nos mains, Amis, le monde entier ! ». Gandhi et Martin Luther King nous ont montré que l’amour, sous la forme de la non violence, pouvait triompher de pouvoirs oppresseurs. Ainsi l’amour est une force qui agit à la fois sur le plan personnel et sur le plan collectif . L’amour déplace les montagnes. L’amour apporte la vie.

 

JH

Sur la terre comme au ciel

Jadis, et aujourd’hui encore, dans certaines civilisations, il y a comme une proximité entre les vivants et les morts. Cette proximité peut être vécue comme une atteinte à l’autonomie et à l’initiative des vivants. Contre cet excès, il y a eu un mouvement de bascule en sens inverse. Aujourd’hui, dans le tohu bohu d’une vie trépidante, on oublie facilement ceux qui ont quitté l’univers terrestre. A cet égard, le terme de disparition, s’il  peut être entendu dans des sens différents, évoque néanmoins une rupture des contacts et des liens. Cette représentation s’oppose à ce qui, dans les liens affectifs, appelle une continuité, quelque soient les transformations évidemment nécessaires.

Cependant aujourd’hui, une nouvelle représentation de l’univers apparaît . Dans le passé, une approche analytique a souvent prévalu en mettant davantage l’accent sur ce qui sépare que sur ce qui relie. Aujourd’hui, une pensée holistique se développe comme en témoigne le progrès de l’écologie . On perçoit de plus en plus les interrelations, les interconnexions qui caractérisent notre univers. Internet exerce une influence sur tous les registres, y compris nos représentations. On a pu définir la spiritualité comme « une conscience relationnelle ». La présence d’une « conscience supérieure » dans l’univers peut ainsi être perçue comme ce qui porte une montée de la reliance et s’oppose à une chute dans la dispersion et le néant.

 

Dans une perspective chrétienne, telle que nous la présente Jürgen Moltmann, un grand théologien qui sait entrer en phase avec le mouvement de notre culture, une « nouvelle pensée trinitaire » met l’accent sur une représentation de Dieu comme une communion d’amour entre les personnes divines. De même, la réjouissance des êtres humains en Dieu est partagée. « Les hommes se réjouissent de Dieu et Dieu est heureux de son peuple » (Esaïe 65.19). Cette réjouissance n’est pas destinée à être vécue solitairement. « La communion directe avec Dieu conduit à une communion directe des êtres humains entre eux… »

Dans cette perspective, les êtres humains recueillis par Dieu après leur mort participent à une communion en Christ. Et, par delà, il  y a « une communion entre les vivants et les morts ». La communion du Christ s’étend à la fois aux vivants et aux mort. « C’est pour être Seigneur des morts et des vivants que Christ est mort et qu’Il a repris vie » (Romains 14.91). Ainsi, il n’y a pas de barrière entre les vivants et les morts. La communion du Christ comprend en quelque sorte deux demi cercles : d’un côté la communauté des vivants, de l’autre côté, celle des morts. L’espace de vie des vivants a des frontières ouvertes comme celui de l’espace des morts. « Il y a bien une communion « infrangible et indestructible » entre les vivants et les morts. Celle-ci s’exerce en Christ, « non pas une communion dans l’expiation, mais une communion dans la même espérance…En Christ ressuscité, il existe une présence des morts avec nous les vivants ». Il n’y a pas de barrière entre les « humains terrestres » et les « humains célestes » selon une appellation qui nous vient comme suggestive.

Et comment cette proximité des morts peut-elle se manifester ? Elle se déploie dans la communion en Christ. « Chaque fois que l’amour inconditionnel de Dieu nous devient proche, les morts que nous aimons nous sont proches aussi. Plus nous devenons proches du Christ, plus nous entrons dans la communion avec les morts ».

Et, ensemble, vivants et morts, nous sommes en marche avec le Christ, dans le processus qui mène à l’avènement du Royaume de Dieu, à la seconde création.

 

A l’expérience, on constate que le message apporté sur ce thème par différents milieux chrétiens est parfois brouillé par les séquelles d’un héritage où le pouvoir religieux a érigé des représentations de l’au-delà et les a utilisé à son profit, où des camps opposés ont dressé des barrières, où une culture de la peur s’est imposée à travers les mentalités. C’est pourquoi, en réponse à des aspirations vitales, une question majeure de sens, une question de vie ou de mort, la clarification théologique apportée par Jürgen Moltmann, nous paraît bienfaisante. A partir des textes bibliques, il nous introduit ainsi dans la signification de la résurrection. La vie éternelle ne se définit pas en opposition avec la vie terrestre. « Résurrection des morts » signifie que cet être mortel revêtira l’immortalité (1 Corinthiens 15.54). Les termes les plus proches de la résurrection dont il est question dans le Nouveau Testament sont « transformation » (1 Corinthiens 15.54). et « transfiguration ». La résurrection signifie alors qu’un être humain trouve en Dieu, sa guérison, sa réconciliation et son accomplissement »

 

Nous sommes, ensemble, en chemin, vers un univers renouvelé, une seconde création où Dieu sera tout en tous  (1 Corinthiens 15.28).

 

JH

 

Les sources sont mentionnées dans l’article : « La vie par delà la mort » publié sur la site : « l’Esprit qui donne la vie »

http://www.lespritquidonnelavie.com/?p=822Il Il s’agit notamment du livre : Moltmann (Jürgen). La venue de Dieu. Eschatologie chrétienne. Cerf, 1997.

Une vie qui ne disparait pas !

La mort d’un proche nous atteint au plus profond de nous-même. Notre relation avec lui est suspendue. L’expression de son amour à travers sa personne physique nous est ôtée. Et la manifestation de notre amour pour lui est désormais sans réponse. Alors se pose à nous une question cruciale : Qu’est-il advenu de cet être cher ? Dans le désert du doute engendré par la méconnaissance d’une conscience supérieure, beaucoup de gens souffrent de ce qui leur apparaît une chute dans le néant. La foi chrétienne nous apporte une réponse. Cependant, on constate des différences importantes dans la formulation de cette réponse, parfois des absences et des contradictions. Il y a bien des embûches comme la peur engendrée par l’image d’un Dieu redoutable ou la perspective d’une barrière qui s’élèverait entre les vivants et les morts. Face à la confusion, il y un grand besoin d’éclairage. Nous présentons ici un témoignage, celui d’une recherche de sens et la réponse qui a été trouvée.

 

« Partie ! Elle était partie. Il savait qu’elle était partie vers la plénitude de la communion avec un Dieu, communion d’amour.  Le souffle de l’Esprit s’était manifesté dans les témoignages au cours de la célébration.  Ce départ était donc éclairé par une conviction pacifiante. Dans les derniers mois, il avait mené la lutte avec elle au coude à coude.  En grâce, sa force et sa joie de vivre l’avait encouragé et éclairé . Ce lien d’amour était-il rompu ? Des discours, des propos laissaient entendre qu’il devrait attendre sa propre mort pour renouer avec sa présence. Et, jusque là, un grand vide. Alors plusieurs mois de déchirement s’en suivirent. Au carrefour de plusieurs cultures chrétiennes, il entendait des propos différents. Les avis étaient partagés. Certains de ses amis, sous l’emprise de doctrines rigides, étaient embarrassés. Leurs marques d’affection s’accompagnaient d’un grand silence. Et d’ailleurs, pour répondre aux attentes, il est bien utile de s’être déjà posé de vraies questions. L’expérience manquait. Dans d’autres cercles, en d’autres influences théologiques, la bonté se traduisait en encouragements qui le touchait : « Elle t’accompagne ». Mais lui, en désir d’honnêteté, il voulait ne pas céder à la facilité et pouvoir fonder son jugement sur une vraie compréhension biblique et théologique. C’est alors que la lecture du livre de Jürgen Moltmann : « In the end.. the beginning »(1) intervint providentiellement. Elle lui donnait la réponse. La présence demeurait sur un certain registre. Non pas une fixation fusionnelle, une communication précise, et non plus une prière à elle directement adressée. Non, tout simplement une seconde présence dans la communion en Christ. Pouvoir adorer et louer  Dieu en communion avec elle..et beaucoup d’autres. Et puis, il retrouva un texte d’elle où s’adressant au mari d’une amie décédée, elle parlait de celle-ci en terme de transfiguration dans la communion des saints. Dans les dernières années, elle avait croisé la pensée de Moltmann et, dans ses écrits personnels, il y avait bien des affinités avec cette pensée : une anticipation de la vie, une force et une joie de vivre… Peu à peu, il remontait la pente. L’affection reçue comptait. Et cependant, en dehors de quelques amis, proches et ouverts, il trouvait peu d’interlocuteurs pour partager sa réflexion. Pourtant, à l’époque, le seul éclairage des textes ne lui suffisait pas. Un jour, providentiellement, il reçut un soutien fondé sur une expérience analogue. Ce soutien lui donna de l’assurance. Ce fut un tournant décisif ».

 

Ce témoignage débouche sur une méditation à partir de la théologie de Jürgen Moltmann (2) dont nous présenterons par la suite quelques aspects, car elle apporte une vision à la fois cohérente et pacifiante fondée sur la parole biblique et inspirée par la puissance de l’amour de Dieu en Christ.

« Dieu si grand, si bon, si puissant dans son amour ! Christ mort et ressuscité a remporté la victoire sur la mort. L’Esprit qui donne la vie remplit tout l’univers et renverse les barrières.  La vie circule. La communion dans l’amour qui se manifeste dans un Dieu trinitaire se répand au delà et irrigue la réalité spirituelle. Il n’y a point de mur de séparation entre les vivants et les morts, mais une communion en Dieu, en Christ. La grâce de Dieu est plus forte que le mal et elle l’emportera dans la seconde création où « Dieu sera tout en tous ».   Dans les épreuves et les souffrances engendrées par le deuil, quel réconfort et quelle espérance ! »

 

JH

 

Sources

(1)            Moltmann  (Jürgen). In the end, the beginning. The life of hope. Fortress press, 2004 (Ce livre est en cours de traduction aux éditions Empreinte ) . Présentation du livre sur le site de Témoins : « Vivre dans l’espoir. Dans la fin…un commencement » http://www.temoins.com/ressourcement/vivre-dans-l-espoir-dans-la-fin-un-commencement.html

(2)            « La vie par delà la mort », sur le blog présentant la pensée de Jürgen Moltmann : L’Esprit qui donne la Vie http://www.lespritquidonnelavie.com/

 

Autres ressources

° On pourra lire aussi un article éclairant de Jean-Claude Schwab sur le site : expérience et théologie : « L’être intime. En quête de l’ « être intime » et du « corps spirituel ». Expériences actuelles à la lumière de la transfiguration, la résurrection et l’ascension de Jésus ». http://www.experience-theologie.ch/reflexions/ressourcement/letre-intime/

° Un livre émouvant rendant compte d’un cheminement spirituel écrit par la théologienne, Lytta Basset : Basset (Lytta). Ce lien qui ne meurt jamais. Albin Michel, 2007